En Algérie, la Cour d’appel criminelle du Conseil judiciaire d’Oum El Bouaghi a confirmé la peine de mort pour les personnes accusées du viol et du meurtre de H. Jaber, âgé de 26 ans. Cette tragédie, qui a choqué le pays, a commencé avec une intention simple de voler le téléphone portable de la victime, mais s’est transformée en une affaire de viol et de meurtre.
L’affaire concerne M.A.N., âgé de 27 ans, et B.M., âgé de 29 ans, qui ont été poursuivis pour avoir formé un gang criminel avec l’intention de commettre des crimes de viol, de chantage, de vols, de meurtre prémédité, et d’actes brutaux. En plus de cela, ils ont été impliqués dans le trafic de drogue et ont utilisé la violence la nuit pour effacer les traces de leurs crimes.
Le représentant du procureur général a demandé une peine de mort pour les deux accusés, qui a été confirmée par la Cour d’appel criminelle. La partie civile a également obtenu une indemnité de 280 millions de centimes pour les préjudices matériels et moraux subis par les parents de la victime.
Cette affaire tragique rappelle à la société la nécessité de lutter contre la criminalité et la violence. Les auteurs de tels actes doivent être poursuivis avec diligence et la justice doit être rendue aux victimes et à leurs familles. Les peines de mort sont un moyen de punir les criminels les plus graves et de dissuader les autres de commettre des crimes similaires.