Rodina Oussama, une jeune fille de 16 ans, n’a pas pu supporter quelques mois de plus les campagnes agaçantes de ses camarades de classe. La jeune fille, qui avait l’intention d’être transférée dans une autre école l’année suivante en quête de salut, a finalement succombé à la mort.
Il s’est avéré que l’étudiante avait subi, après une récente dispute entre elle et ses camarades de classe, une forte baisse de la circulation sanguine, à la suite de quoi elle est tombée inconsciente chez elle et a rendu son dernier souffle avant d’être transférée à l’hôpital, une altercation s’est produite entre Rodina et ses camarades de classe après qu’ils ont écrit leurs noms sur son siège dans la salle de classe et l’ont délibérément harcelée et lui ont adressé des mots offensants et ont ridiculisé son apparence, la décrivant comme « laide », l’incident a déclenché une colère généralisée dans la rue égyptienne et des commentaires ont afflué sur les réseaux sociaux, appelant à ce que les filles et l’administration de l’école soient tenues responsables de leur négligence et de l’incapacité des responsables de l’école à répondre à la douleur de la fille, le père de Rodina avait confirmé que sa fille avait été soumise à une grave crise psychologique en raison de la récente altercation survenue avec ses camarades de classe à la « Dar Al Hanan School for Girls » à Gizeh, et qu’elle avait été victime d’intimidation par ses camarades de classe, tandis que l’administration de l’école a ignoré ses plaintes répétées.
Dans un tweet qu’il a publié sur Twitter, l’activiste Iyad Al-Hamoud a écrit : « Rodina Oussama, une étudiante égyptienne de 16 ans, a été harcelée par ses camarades de classe, qui avaient l’habitude de répéter des mots tels que (Tu es moche) (Comment fais-tu ? Tu te tolères et c’est comme ça que tu as l’air ?)… Elle a porté plainte auprès de la direction de l’école, mais en vain, ils l’ont encore intimidée jusqu’à la détruire psychologiquement, et à la fin elle a eu une crise cardiaque et est décédée”.
