Laissez-moi vous raconter une histoire d’horreur, une histoire qui ne provient pas des médias officiels, mais plutôt de la réalité brutale que vivent les femmes en Algérie sous le régime des généraux. Pour ceux qui cherchent à polir l’image de l’homme algérien civilisé, il est temps de se réveiller et de regarder ce qui se passe réellement sur le terrain.
Il y a Anissa, une travailleuse domestique, exploitée par son chômeur de mari. Il prenait son argent injustement et le dépensait sur des drogues et des prostituées bon marché. Lorsqu’elle a osé s’opposer à lui, il l’a battue et lui a cautérisé le corps avec des cigarettes. Cela a continué jusqu’au jour où elle a finalement mis fin à ses jours. Et Anissa n’est pas la seule victime en Algérie de l’oppression du mari, mais il y en a des millions dans des situations similaires, voire pires.
Pourtant, les médias propagandistes préfèrent se concentrer sur les vieillards au palais El Mouradia plutôt que sur les souffrances de ces femmes. Et si vous pensiez que cela ne pouvait pas être pire, laissez-moi vous parler de M.F, un mari qui a brûlé sa femme de quarante ans vivante. Tout cela parce qu’elle avait refusé de lui donner de l’argent pour acheter des cigarettes, des drogues et pratiquer ses vices avec les prostituées du village.
Le tribunal correctionnel de Skikda l’a condamné à seulement trois ans de prison, après quoi il sortira pour chercher une nouvelle victime. L’histoire de cette femme est un exemple terrible de la violence et de l’oppression que subissent les femmes en Algérie. Et pourtant, cela ne fait pas les gros titres des médias. Il est temps de briser le silence sur cette question et de faire entendre la voix de toutes ces femmes qui souffrent en silence.