Société

Le voyage de deux sœurs soudanaises pendant la saison de migration vers le Nord

« Vous êtes maintenant dans votre pays et parmi votre famille et vos frères. » C’est ainsi qu’un officier égyptien a salué des dizaines de Soudanais fuyant en bus l’enfer du conflit armé au Soudan à leur arrivée au poste frontière d’Arqin, poursuivant : « Nous regrettons ce qui se passe dans notre deuxième pays, le Soudan, ce qui ne va pas chez vous nous fait mal, nous sommes frères de sang et de religion Langue et destin, Buthaina Hassan raconte cet incident avec un visage qui exprime à la fois le chagrin et le regret, et un corps ravagé par l’épuisement avec un peu de réconfort, en disant : « Après le déplacement du bus, j’ai succombé à une somnolence passagère et rare après des jours difficiles de l’insomnie, l’anxiété, la peur et la faim, qui ont commencé à partir du moment où nous avons quitté la maison dans le quartier d’Umbada al-Sabil. » d’Omdurman, près de la capitale », selon son entretien avec la presse.

Plus tard, Buthaina a appris que ce que l’officier leur avait dit, il l’avait répété à d’autres Soudanais fuyant dans d’autres bus. Ces paroles chaleureuses ont fait oublier Buthaina, et elle lui a fait oublier un instant ce que les agents des passeports avaient fait avec ses frères en empêchant les empêcher de traverser le point de passage d’Arqin, car ils n’avaient pas de passeport, mais elle a ajouté : « Ils sont excusés, ils mettent en œuvre les ordres contrôlant le mouvement du transit soudanais afin qu’un criminel fuyant les prisons ouvertes au Soudan ne s’infiltre pas dans le pays, alors qui peut faire le tri entre le bien et le mal sauf avec un visa officiel »? Dans son souvenir des différentes histoires des tragédies des fugitifs, les mots de l’officier se sont entrelacés avec les mots d’un membre du Croissant-Rouge égyptien, car les mots des deux hommes portaient un sens qu’elle ressentait sa sincérité et sa spontanéité. Une crise et elle passera, les Égyptiens se tiennent aux côtés de leurs frères dans le présent et l’avenir comme par le passé, alors ne soyez pas tristes.

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