Les médias locaux ont révélé l’implication d’un cadre supérieur d’Eskom et du secteur de l’électricité en Afrique du Sud, ainsi que d’un certain nombre de responsables de la plus grande compagnie d’électricité privée du pays, dans le vandalisme et le vol de centrales électriques, qui était l’une des causes des fréquents crise des pannes d’électricité au cours de la période écoulée.
Le responsable exécutif et les personnes impliquées dans le vandalisme et le vol pourraient faire l’objet d’accusations pénales, car la police recueille des preuves révélant leur rôle dans les actes de sabotage des centrales électriques, qui ont entraîné des dysfonctionnements du réseau national, selon ce qui a été publié par le site Web Business Tech, citant le journal local City Press qui a rapporté que des discussions de haut niveau avaient eu lieu en Afrique du Sud au sujet de graves allégations contre l’exécutif accusé d’Eskom, les investigations se poursuivent concernant des messages diffusés via l’application « WhatsApp », obtenue par les services de sécurité à Johannesburg, qui pourraient révéler les projets des prévenus de saboter les unités de production d’électricité des centrales ciblées, les lettres montrent des discussions franches entre l’exécutif accusé et d’autres personnes impliquées sur des stratégies de sabotage de plusieurs centrales électriques en Afrique du Sud, avec des preuves que ces plans ont réussi à plusieurs reprises, et le journal local a révélé que les allégations vont au-delà du dirigeant – dont le nom n’a pas été mentionné – mais en incluent d’autres, notamment : un comptable agréé, des travailleurs licenciés d’Eskom et les familles des personnes impliquées.
Plus tôt, les directeurs des centrales électriques d’Eskom ont confirmé la propagation du vandalisme dans les différentes installations de l’entreprise et ont déclaré que ces actes sont l’un des principaux facteurs à l’origine de la crise de l’électricité dans le pays, les responsables des centrales ont indiqué que des éléments criminels sabotent délibérément les centrales électriques appartenant à l’entreprise de manière organisée, soit par but politique, soit par dépit parce que ces éléments ont perdu les promotions et les privilèges accordés par l’entreprise.
