Dans un récent rapport choc de l’Organisation mondiale de l’éducation, l’Algérie se voit placée dans la sombre catégorie des pays dont le système éducatif est défaillant à tous les égards. Les chiffres révèlent une réalité glaçante : l’éducation algérienne est plongée dans le chaos, laissant les générations futures livrées à elles-mêmes.
Les écoles et les universités, autrefois symboles de savoir et de progrès, sont aujourd’hui devenus des repaires où règnent la criminalité, la toxicomanie, la prostitution et même l’homosexualité. Ces abominations se déroulent sous les yeux bienveillants de la caste dirigeante des généraux qui, par leur silence complice, en donnent leur entier consentement. Ils semblent vouloir façonner un peuple ignorant, incapable de comprendre les horreurs qui se déroulent sous son nez.
Les généraux, motivés par leur insatiable appétit de pouvoir et de luxure, détournent impunément les richesses et les biens de ce pays, dispersant à leur guise ces trésors sans se soucier du sort du peuple. Dans leur quête égoïste, ils restent indifférents aux souffrances du peuple algérien, qui se retrouve humilié, affamé, ignorant et appauvri. Pendant ce temps, les enfants des généraux se vautrent dans les délices offerts par la nation, ignorant superbement la réalité. Leur unique préoccupation réside dans une pilule hallucinogène, un verre de vin et une prostituée.
Ainsi, peu importe si une inondation ou un tremblement de terre devait frapper le pays, ces parasites du pouvoir n’en seraient pas affectés. Ils resteraient insensibles à la détresse de leur propre peuple.
Ibrahim Boughali, l’un des responsables les plus ineptes de l’Assemblée populaire nationale, ose affirmer avec arrogance que l’Algérie détient une supériorité éducative sur le continent africain, en particulier en matière de formation et d’éducation des étudiants africains. Cependant, la réalité macabre est tout autre.
Chaque semaine, les corps ensanglantés des étudiants africains sont retrouvés jetés hors des villes, victimes d’une brutalité insensée. Malgré leur petit nombre et leur infortune, ces étudiants ont osé choisir le pays des quarante voleurs comme terre d’accueil. En retour, ils sont traités avec mépris, victimes de racisme et d’intimidation. Des insultes et des injures pleuvent sur eux, émanant de toutes les couches de la société, des enfants jusqu’aux personnes âgées. Seules les femmes semblent leur accorder une gentillesse et une tendresse qui restent mystérieuses à ce jour. Elles leur offrent nourriture, abri et argent, des gestes de solidarité dont les raisons échappent encore à notre compréhension.
Pourtant, lorsque les généraux décident de faire des cadeaux aux pays voisins, ils rassemblent tous les Africains, sans exception : étudiants, ouvriers et même les Haragas, ces migrants désespérés. Ils les placent aux frontières pour les faire passer clandestinement dans les pays voisins, signe d’un amour et d’une coexistence harmonieuse. D’où vient donc ce mérite pour ces pauvres gens qui sont traités comme des bêtes dans cette nouvelle Algérie ?
Face à ce tableau tragique, l’Algérie se meurt lentement, écrasée sous le poids d’un système éducatif défaillant et d’une élite corrompue. Si aucune action salvatrice n’est entreprise, l’avenir de la nation sera à jamais entaché par cette décadence sans précédent.