En Algérie, les ténèbres de la tragédie se sont abattues sur Réghaîa, dans la Wilaya d’Alger. Les services de sécurité, tels des gardiens implacables, ont capturé un enfant innocent, à peine âgé de 12 ans, et l’ont entraîné dans les abysses de l’interrogatoire, aux côtés d’un autre suspect, un jeune homme encore dans les premières lueurs de sa vingtaine. Leur crime ? Un meurtre prémédité, une âme fauchée, une jeune étudiante de 22 ans.
Il y a de cela deux semaines, les premiers murmures de cette affaire sombre ont commencé à se répandre. Une querelle, une discorde déchirante, éclata entre le prétendu « M.A. Z », ce fragile enfant de 12 ans, et le second accusé, surnommé « S. K », tous deux résidents de la région de Réghaîa. Telles des ombres, ils se sont déplacés tard dans la nuit, tels des spectres se dirigeant vers la demeure de leur victime, assoiffés de confrontation. Dans un endroit désert, les fils du destin se sont entremêlés, alors que la maîtresse de la victime, harcelée, et son sac à main, son téléphone portable, volés, alimentaient les braises de leur différend.
Le néant de l’obscurité a pris vie ce soir-là. Dans un ballet macabre, les protagonistes se sont enlacés, leurs destins entrelacés dans une danse mortelle. Un des accusés, armé d’un couteau, l’a brandi avec férocité, pointant son arme tranchante sur sa victime. Les coups perfides ont atterri, insidieux et impitoyables. La lame a transpercé la cuisse gauche, puis le ventre, laissant la victime se vider de son sang, sa vie emportée dans les abysses de l’injustice. Les auteurs du crime, tels des fantômes fuyants, ont pris la fuite, laissant derrière eux un tableau de désolation.
Mais le voile funeste ne pouvait dissimuler leur crime. Les passants, telles des lueurs d’espoir perdu, ont découvert le corps sans vie de la jeune âme éteinte. Portée par leurs bras secourables, elle a été transportée vers l’hôpital, où l’issue funeste de ses blessures l’a inéluctablement rattrapée. La Mort, comme une amante cruelle, a scellé son destin avec froideur.
Ainsi, les cieux d’Algérie se sont obscurcis, tandis que les cœurs, empreints de douleur et de désolation, cherchent des réponses dans l’ombre de ce drame. Une tristesse insurmontable enveloppe désormais Réghaîa, laissant les âmes tourmentées dans un océan d’incompréhension, tandis que les échos de ce meurtre sans pitié résonnent encore, amplifiant les souffrances de ceux qui pleurent une vie perdue dans les méandres sombres de la cruauté humaine.
