En Algérie, toutes les couches de la population se demandent entre elles ce qui nous manque, en tant qu’Algériens, pour vivre une vie décente, dans laquelle les conditions de vie sont remplies et les conditions appropriées à la nature humaine sont présentes, quand nous réveillons-nous le matin sans trouver de longues files d’attente qui nous attendent ? Au lieu d’aller travailler ou étudier, nous nous occupons dans les files d’attente et nous nous battons entre nous pour des litres de lait ou un morceau de pain brûlé, quand allons-nous à l’hôpital et trouvons-nous le médecin dans son lieu de travail qui soigne les malades ? Quand mangeons-nous de la nourriture halal comme les autres musulmans ? Quand les garçons et les filles vont-ils à l’école sans être victimes de harcèlement ou de viol ? Ces choses ont besoin que les hommes les changent, et l’Algérie connaît la crise du manque d’hommes, comme le disait l’ancien président Boumediene.
Et dans le contexte du sujet, une nouvelle mutation est apparue dans les générations actuelles de l’Algérie, en effet, après la mutation des Turcs, des Français et des Espagnols, premiers colonialistes, est venu le tour du nouveau gène héréditaire, quiconque visite l’Algérie doit injecter à nos femelles ses gènes héréditaires et laisser sa progéniture se répandre parmi nous, car aujourd’hui c’est le tour des Africains et des Chinois, et vous trouverez un enfant complètement négro-africain qui parle le dialecte algérien meilleur que vous et moi, bien sûr c’est sa mère qui l’a élevé après le départ de son père africain pour l’Europe, et ses oncles ont pris soin de lui, et dans le même quartier, vous trouvez un enfant aux yeux étroits et de petite taille qui vous parle dans notre dialecte couramment, porte nos vêtements et mange notre nourriture, et c’est sa mère algérienne qui s’occupe de lui après que son père a construit la Grande Mosquée et est parti comme l’autre Africain, alors que nos filles voyagent vers le Golfe Persique, la Turquie et l’Europe, qui sont alors devenus rempli de filles et de garçons algériens, et ce qui est pire, c’est que ce sont les généraux qui leur facilitent les visas de voyage et de résidence dans ces pays, et ce qui est étrange, c’est que lorsque vous interrogez ces femmes qui fuient le pays sur la raison de tout cela, , elles vous donnent une seule réponse : l’Algérie n’a plus d’hommes. …
