En Algérie, les actes de violence et les crimes semblent malheureusement devenir une triste routine quotidienne. Chaque jour, de terribles faits divers secouent le pays, illustrant une sombre réalité. On y entend parler de pères abusant de leurs propres filles ou de jeunes hommes commettant des actes impensables, comme le meurtre de leur propre mère. Cette série d’événements tragiques semble être en partie le résultat d’une fragmentation de la société algérienne, où la notion d’une nation unifiée se perd parfois au profit d’intérêts personnels et de désordre.
Récemment, les habitants du quartier Dallas de la ville de Relizane, en Algérie, ont été réveillés par un acte criminel atroce et mystérieux qui a coûté la vie à trois membres d’une même famille. Leurs corps ont été découverts à l’intérieur de leur maison familiale, plongeant la communauté dans l’effroi. Les victimes étaient une mère de 60 ans, nommée S. Al-Hadja, sa fille de 30 ans et son fils de 20 ans, tous deux handicapés.
Selon les informations que nous avons pu obtenir, le père de famille, âgé de plus de soixante ans et souffrant de troubles psychologiques, est le principal suspect. Il a été rapidement appréhendé et fait l’objet d’une enquête menée par les services de sécurité compétents afin de comprendre les raisons et les motivations derrière ce crime épouvantable.
D’après les témoignages de quelques voisins de la famille, ils ont entendu un cri terrifiant provenant de la maison avant de voir le père quitter précipitamment les lieux, éveillant ainsi leurs soupçons. À leur entrée dans l’appartement, ils ont fait la découverte macabre des corps des victimes gisant sur le sol, dans le hall et l’une des chambres.
La plupart des proches de la famille se trouvent actuellement à l’hôpital « Mohamed Boudiaf » à Relizane, tous profondément choqués par cette tragédie. Pour l’instant, personne ne semble comprendre les motifs qui ont poussé le père à commettre cet acte odieux. De plus, au moment de la rédaction de cette nouvelle, les détails concernant l’outil ou l’arme utilisé pour perpétrer ce crime n’ont pas encore été divulgués.
