Nous ne sommes pas encore sortis du scandale mondial provoqué par la présence du clown Tebboune devant l’Assemblée générale des Nations Unies, et les nouvelles désobligeantes à notre sujet continuent de s’accumuler et de se propager, de loin en loin. En effet, notre courageuse équipe de secours a laissé sa marque algérienne de renommée internationale (du vol) en Libye voisine, déjà accablée, et a fait parler d’elle de façon honteuse. Au lieu de se consacrer à sauver les victimes, récupérer les corps des décombres, et fournir de la nourriture et des boissons aux nécessiteux, nos soi-disant héros ont pratiqué le pillage des vêtements des cadavres, le vol de bijoux en or tels que des bagues et des boucles d’oreilles, la recherche de Smartphones et de montres. Ils ont même arraché de force les chaussures des défunts pour les jeter dans des sacs spécialement apportés d’Algérie dans le but de piller et de voler. Quant à la nourriture destinée aux handicapés et aux victimes de l’ouragan, notre vaillante équipe en a consommé la majeure partie avant de donner le reste aux sinistrés, et ce qui est resté caché est encore plus important.
Des informations en provenance de Libye ont révélé que les équipes de secours que nous avons envoyées et que le régime des gangs se vante d’avoir déployées à Derna, une ville dévastée par l’ouragan Daniel, sont impliquées dans le vol de bijoux et d’ornements, la profanation des corps des victimes et même des agressions sexuelles sur des enfants. Tout cela se produit alors que les Libyens endurent déjà d’énormes souffrances à la suite de la catastrophe naturelle qui a fait des milliers de morts et de disparus dans la ville côtière de Derna. Les équipes de secours algériennes n’ont pas hésité à piller et à voler les biens des citoyens accablés, à fouiller les vêtements des cadavres à la recherche de téléphones portables et d’objets de valeur, sans respecter la dignité des défunts ni se soucier de l’ampleur de la tragédie. Des Libyens et des journalistes étrangers ont dénoncé sur les réseaux sociaux le vol d’or et de biens appartenant aux sinistrés, affirmant que les équipes de secours algériennes avaient pillé plusieurs bijouteries de la ville de Derna, déjà touchée par l’ouragan.
Des affrontements ont éclaté entre les équipes de secours algériennes et certains citoyens libyens lorsque l’un d’entre eux a surpris des membres de ces équipes en train de harceler un petit enfant et de dévaliser des bijouteries. Les habitants ont demandé aux équipes algériennes de vider leurs sacs, mais ces dernières ont ignoré les demandes des habitants, ce qui a entraîné une violente bagarre. C’est ainsi que se manifeste la nature malveillante de ces généraux, dansant sur les dépouilles des morts, exploitant la vulnérabilité de leurs voisins et volant leurs biens et leur or. Ils agissent comme des hyènes, des traîtres en plein jour, dépourvus de principes et de moralité.