Société

Pourquoi les enfants de l’âge de pierre élevés dans les sociétés tribales africaines ont-ils reçu une meilleure éducation ?

Bien que les parents modernes aient plus de responsabilités en matière de garde d’enfants que leurs ancêtres de l’âge de pierre, cette approche pourrait conduire à une parentalité moins « efficace », suggère une étude récente, une étude suggère que les enfants pourraient être « prédisposés sur le plan du développement » à s’attendre à un niveau plus élevé d’implication des soignants que ce n’est le cas dans les cultures occidentales modernes. L’étude affirme qu’« il faut tout un village pour élever un enfant », et il s’avère qu’il y a peut-être une part de vérité là-dedans.

Bien que les parents modernes aient plus de responsabilités en matière de garde d’enfants que leurs ancêtres de l’âge de pierre, cette approche pourrait conduire à une parentalité moins « efficace », suggère une étude récente, des anthropologues de l’Université de Cambridge ont étudié les pratiques de garde d’enfants des Mbendjili Bayaka, une tribu semi-nomade de la République démocratique du Congo, pour explorer la manière dont les sociétés traditionnelles prennent soin de leurs petits, contrairement à la parentalité contemporaine où la garde des enfants est principalement confiée aux parents, comme le Mbendjeli Bayaka, qui a un système parental communautaire, où plus de 10 membres de la tribu s’occupent souvent des besoins de l’enfant, cette approche communautaire a permis aux enfants de bénéficier d’environ neuf heures de contact étroit avec les différents membres de la tribu, permettant ainsi aux mères de travailler et de se reposer.

En revanche, les nourrissons du Canada et des Pays-Bas ont reçu moins d’une demi-heure de contact étroit par jour, ce qui met en évidence une différence marquée dans les contacts sociaux, une grande partie de cette interaction implique un contact corporel, un type de connexion désormais reconnu par les professionnels de la santé pour toute une série de bienfaits physiques et émotionnels, notamment en aidant à réguler le rythme cardiaque et la respiration d’un bébé, ainsi qu’en favorisant le développement du cerveau.

  800 000 personnes souffrent de la réduction des services vitaux au Soudan du Sud

 

Ajouter un commentaire

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les plus lus

To Top