Le président du Parlement du Ghana, Alban Bagbin, a donné l’indication la plus claire à ce jour : le projet de loi anti-homosexualité sera adopté avant les vacances de Noël, le projet de loi, en phase finale d’examen au Parlement, prévoit une peine de prison de 10 ans pour les défenseurs LGBT et de trois ans de prison pour les personnes s’identifiant comme homosexuels. Il interdit également le financement d’activités homosexuelles et le considère comme déjà illégal.
Le principal partisan du projet de loi, Samuel Nartey George, a déclaré que cela exposerait les députés qui auraient été compromis par les défenseurs de la communauté homosexuelle afin d’empêcher l’adoption du projet de loi. Mais la majorité des députés ont nié ces allégations, affirmant qu’il y avait encore des problèmes sous-jacents qui devaient être abordé, le projet de loi anti-LGBT a été présenté pour la première fois aux députés en août 2021, et les partisans du projet de loi affirment qu’il contribuera à préserver les valeurs familiales ghanéennes, les États-Unis ont élargi leur politique de restriction des visas d’entrée pour les fonctionnaires ougandais afin d’inclure ceux qu’ils estiment responsables de ce qu’ils ont décrit comme la répression des groupes marginalisés en Ouganda, en référence aux homosexuels.