En Algérie, pays des merveilles par excellence, une fillette bébé de deux mois, d’ascendance inconnue, a perdu la vie dans la Wilaya de Relizane après avoir été écrasée par un camion spécialisé dans la vente d’eau, un incident étrange et unique qui se produit uniquement en Algérie. Comment une fillette aussi jeune peut-elle se retrouver abandonnée dans la rue sans mère ni père, et qu’est-ce qu’un camion de vente d’eau potable fait dans un pays puissant et dont les dirigeants prétendent être meilleurs que la Suisse et plus riches que tous les pays du Golfe réunis ? Il y a même des idiots qui prétendent que l’Algérie est désormais une planète à part, tant est grande l’intensité du développement, de la richesse et de la technologie à notre disposition, une planète indépendante de notre Terre nourricière, vivant à l’Âge de Pierre, bien sûr !
Et maintenant, voici les détails de cet étrange incident. Selon un communiqué de la Direction de la Protection Civile de la Wilaya, l’unité principale de la Protection Civile est intervenue à neuf heures du matin pour un accident.
Cet incident a entraîné la mort d’une fillette de deux mois d’ascendance inconnue, écrasée par un camion spécialisé dans la vente d’eau. Après enquête, il a été découvert que la fillette avait été abandonnée par une mère célibataire (prostituée) au milieu de la nuit près d’une poubelle, entourée d’ordures, de chats errants et de chiens sans abri, pour mourir de froid et de faim, selon le rapport médico-légal.
Quant à son écrasement par le camion de vente d’eau, cela est dû à l’affluence dans la file d’attente pour acheter de l’eau potable.
En effet, après que la quasi-totalité de l’eau du camion a été écoulée et avant que la grande majorité des citoyens n’aient pu obtenir leur part, ces derniers ont décidé d’attaquer le camion et de prendre le reste de l’eau pour étancher leur soif et celle de leurs enfants. Mais le chauffeur du camion, craignant pour sa vie face à l’attaque de ces personnes assoiffées et affamées, a décidé de s’enfuir pour sauver sa vie. Il a donc appuyé de toutes ses forces sur la pédale d’accélérateur et a pris la fuite à une vitesse folle. Sur sa route, il n’a pas vu le corps de la fillette et l’a donc écrasée, déchirant ainsi ses organes fragiles sous le poids des roues solides. Ainsi se termine notre histoire, par la mort d’une fillette d’ascendance inconnue, comme tant d’Algériens, et par la lutte des citoyens misérables pour une gorgée d’eau, ainsi que par la perte d’une mère célibataire dans un pays qui prétend vivre mieux que l’Europe.