Depuis hier mardi à Nouakchott, plusieurs parlementaires appartenant à « l’Alliance des parlementaires pour la protection de l’environnement des pays côtiers d’Afrique de l’Ouest » ont plaidé pour la création d’un réseau de parlementaires et d’élus compétents dans le domaine de la gestion environnementale, cela a lieu lors de l’Assemblée générale de l’Alliance, organisée par l’Assemblée nationale mauritanienne, où les participants discutent de la nécessité d’assurer une plus grande harmonie avec les cadres législatifs pour une gestion optimale des ressources marines, ainsi que des moyens d’encourager la ratification des systèmes pertinents et la mise à jour des systèmes nationaux. législation dans ce domaine.
L’ordre du jour de la réunion, qui se termine aujourd’hui, comprend l’évaluation des activités du « Partenariat régional pour la conservation des zones côtières et marines en Afrique de l’Ouest » (PRCM), l’identification des défis environnementaux dans cette région et les moyens d’y faire face, et la les représentants et les élus pour jouer leur rôle central lié au suivi du travail des gouvernements et au suivi des politiques publiques de leur pays, le chef de la coalition, Ibrahima Baba Sal, estime que tout travail ou activité visant à protéger l’écosystème et les zones côtières doit recevoir le soutien de tous les membres afin de préserver les écosystèmes des pays d’Afrique de l’Ouest, pour sa part, le Directeur Exécutif du « Partenariat Régional pour la Conservation des Zones Côtières et Marines en Afrique de l’Ouest » a estimé que la surexploitation des ressources halieutiques et la pêche illégale expose les moyens de subsistance durables des communautés côtières à un risque croissant, et affecte également la écosystèmes associés à la mer.
Il a rappelé les pressions humaines et climatiques croissantes sur les zones marines et côtières, notamment l’expansion urbaine rapide le long des côtes, qui entraîne leur érosion, la coalition, qui comprend, outre la Mauritanie, les îles du Cap-Vert, la Gambie, la Guinée Bissau, la Guinée, le Sénégal et la Sierra Leone, avait annoncé précédemment dans un communiqué qu’elle renouvellerait les instances dirigeantes de la coalition lors de la réunion de Nouakchott afin de mobiliser parlementaires et renforcer leur influence politique à travers des activités concrètes.