Tous les Wilayas d’Algérie, qui étaient auparavant connus pour leur caractère calme et organisé, connaissent désormais des scènes quotidiennes qui provoquent anxiété et malaise chez les résidents et les visiteurs, en plus de la propagation croissante de chiens errants qui propagent des maladies infectieuses et attaquent les passants, en conséquence, les rues des villes algériennes sont devenues un refuge pour un grand nombre d’enfants et d’adolescents sans abri des deux sexes, de parenté inconnue, dont les traits varient entre asiatique, africain et européen, et des mères célibataires, se rassemblent devant les cafés, les restaurants et les fast-foods, ils mendient auprès des passants et des touristes étrangers, ce qui ajoute une image négative à la scène générale de l’État.
Ce phénomène est particulièrement visible dans les zones vitales telles que les rues principales des Wilayas et les places où se rassemblent les touristes, jusqu’aux centres-villes, qui ne sont pas épargnés par ces phénomènes qui nuisent à la réputation de l’Algérie, où l’on retrouve ces enfants et des adolescentes allongées sur les trottoirs, dormant devant les magasins, urinant et déféquant partout, ils sont exposées au viol et au vol de leurs petits organes après avoir été tuées de manière horrible, en l’absence totale de protection des forces de sécurité et en l’absence des solutions efficaces de la part des autorités locales pour ces jeunes victimes dans tous les Wilayas du pays, où la sonnette d’alarme est tirée concernant ce phénomène qui s’est aggravé ces dernières années, soulignant la nécessité de l’intervention des autorités concernées, il est urgent de sauver ce groupe marginalisé de la société misérable qui souffre de conditions de vie difficiles allant du froid extrême aux maladies chroniques, en plus de son exposition aux risques d’exploitation sexuelle, de violence, de harcèlement et de trafic d’organes.
