En Algérie, lorsque le touriste du Golfe, notamment qatari ou émirati, arrive avec sa voiture blanche rutilante, qui n’a pas d’équivalent en Algérie, il est accueilli par les femmes et les jeunes filles algériennes avec des youyous, des chants et des tambours. Le touriste du Golfe étant une devise forte en Algérie, l’agence de voyages algérienne lui fournit environ dix femmes pour accompagner chaque touriste du Golfe dans toutes ses sorties et visites aux bordels, aux boîtes de nuit et aux zones touristiques. Elles ne font rien d’autre qu’exaucer ses désirs et exécuter ses ordres, qu’ils soient sexuels ou autres, intimes et honteux. Ce qui est étrange, c’est qu’un touriste émirati a documenté ce service VIP via une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, où il est entouré de dix jeunes filles algériennes, chacune rivalisant pour satisfaire ses désirs afin d’obtenir son approbation.
Quelques mois avant cet incident, lors du Salon international du livre d’Alger, le scandale a éclaté lors de la séance de dédicace de l’écrivain saoudien Osama Al-Muslim pour son livre. Cet événement douteux a attiré des milliers de mineures, de jeunes filles et d’homosexuels, jeunes et vieux, tous espérant un contact avec l’écrivain saoudien, que ce soit une poignée de main, un baiser ou obtenir un autographe sur leurs vêtements ou sous-vêtements avec le stylo de l’écrivain saoudien, aiguisé pour ces occasions.
Certaines jeunes filles se sont évanouies à la simple vue du sourire de l’homme saoudien, tandis que d’autres ont jeté des papiers avec leurs numéros de téléphone ou des photos d’elles-mêmes dénudées. Pire encore, il y avait des attouchements intimes et du harcèlement sexuel au milieu de la foule, dans un spectacle répugnant où l’on pouvait voir un jeune homme collé à une jeune fille de manière indécente, ou un jeune homme collé par derrière à un autre jeune homme, et même des jeunes filles collées entre elles, tous prétendant poursuivre l’écrivain saoudien qui se déplaçait parmi eux comme Hâroun ar-Rachîd parmi ses concubines et ses jeunes serviteurs, choisissant parmi cette offrande sexuelle locale ceux qu’il désirait
