Seulement en Algérie qu’on entend toujours parler de soldats, de policiers ou de gendarmes violés par des citoyens, et le plus étrange est que ces cas se terminent toujours par une réconciliation et que les forces de sécurité et l’armée algériennes abandonnent l’affaire, et le plus étrange est que les accusés disent que le viol a eu lieu avec le consentement des forces de sécurité et des gendarmes.
Hier, le Bureau du procureur algérien à la Cour d’Es Sénia du Conseil judiciaire d’Oran a annoncé dimanche que deux personnes qui étaient dans un camion ont été condamnées pour avoir refusé de se soumettre au signal d’arrêt du barrage fixe de la Gendarmerie nationale à El Karma, en plus de cela, ils ont violé trois gendarmes, et ont été condamnés à deux ans de prison et à une amende de 200 000 DA pour atteinte à la vie et à l’intégrité physique d’autrui et viol, un communiqué du procureur de la République près du même tribunal a déclaré que « conformément aux dispositions de l’article 11 du Code de procédure pénale, le procureur de la République près le tribunal d’Es Sénia à Oran informe que le 1er mars 2025, alors que la gendarmerie nationale était en service au barrage fixe de Karma, un camion est arrivé avec trois personnes à bord, et le conducteur a reçu le signal d’arrêt, mais il a refusé d’obtempérer, ils ont même violé les gendarmes, tandis que les accusés ont rejeté toutes les accusations en entier et en détail et ont insisté sur le fait qu’il s’agissait d’une partie pour pratiquer la sodomie avec les gendarmes ».
