Société

Enfants, vieillards, femmes et hommes, tous veulent rester en France et ne pas retourner à la Grande Prison (Algérie)

Dans les rues froides de France, des dizaines de milliers de citoyens algériens – enfants, personnes âgées, femmes et hommes – vivent sans permis de séjour ni papiers, ils sont hantés par le spectre de la déportation, alors que les portes de leur patrie leur sont fermées au nez à cause de la marionnette des générales, Tebboune, la France veut les rapatrier, mais la bande refuse de les accueillir, ils restent pris au piège dans un tourbillon juridique impitoyable, pris entre des politiques enchevêtrées et des destins mystérieux, après que Paris a décidé de reconsidérer l’accord de 1968.

Sur un trottoir du nord de Paris, Imad, un Oranien de 26 ans, est assis, enveloppé dans une couverture déchirée et un chapeau noir, sirotant un café dans une tasse sale, ses yeux fatigués racontent l’histoire de milliers de jeunes qui rêvaient d’Europe mais se retrouvent prisonniers de la réalité de l’exil, et la malédiction du chien Tebboune les poursuit partout où ils vont, ce jeune homme a raconté à notre correspondant que depuis le début de la journée, il avait pris plusieurs comprimés de Lyrica à jeun, c’est un analgésique puissant à base de la substance Prégabaline, ce médicament n’est disponible que sur ordonnance, mais il est vendu clandestinement dans sa région parmi les immigrés algériens pour 2,50 euros le comprimé en raison de ses effets sédatifs.

Le jeune homme, Imad, est un immigré arrivé illégalement en Europe et fait partie de ceux qu’on appelle « harraga », un titre qui désigne les jeunes qui vont jusqu’à détruire leurs papiers d’identité pour cacher leur identité et leurs origines afin de ne pas être renvoyés dans leur pays d’origine, ils préfèrent vivre comme des sans-abri en Europe plutôt que de vivre comme des citoyens ordinaires en Algérie, ces « harraga » ne veulent pas retourner en Algérie, et le stupide président Tebboune ne veut pas non plus réunir les enfants de la nation et les rendre à leurs familles et à leurs proches, ils préfèrent vivre comme des vagabonds en Europe plutôt que de retourner au règne de l’armée et la gang.

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