Aujourd’hui, tous les Africains se demandent quelle est la source d’énergie pour toute cette violence et cette criminalité des milices africaines contre les Africains alors qu’ils mènent des opérations d’épuration ethnique et des campagnes brutales contre de simples civils, les torturent, les tuent et les obligent à quitter leur maison et même d’arracher les embryons du ventre de leur mère et de les brûler.
Qu’est-ce qui fait de ces milices des monstres sans pitié qui tuent des Africains de sang froid ?
Des reportages dans les médias internationaux ont mis la lumière sur le commerce des pilules hallucinogènes en Afrique. Selon ses rapports, l’Algérie fournit aux milices dans toute l’Afrique depuis la Libye à la République centrafricaine en passant par Boko Haram au Nigéria ses pilules hallucinogènes pour que ses milices commettent des crimes de guerre et tuent des Africains avec toute brutalité.
En effet, les rapports internationaux ont confirmé concrètement que l’Algérie inonde l’Afrique de pilules hallucinogènes de toutes sortes et qui sont très populaires sur le marché des toxicomanes.
Ce sont des comprimés médicinaux qui sont produit par la société pharmaceutique algérienne du Groupe « Saidal » qui produit également (Zepam) et (Rivotril) qui sont d’autres types de drogue psychédéliques.
Mais les plus dangereuses des pilules hallucinogènes fabriquées par la société algérienne Saidal sont les pilules dites « ISIS » (Daech) et qui sont utilisés par les milices africaines et les groupes terroristes, et les experts le classent comme un poison en raison de son impact et de son influence graves sur ses agresseurs qui en font des bêtes prédatrices.
C’est pourquoi l’hallucinogène algérien connaît une forte demande et une grande popularité parmi les milices africaines.
Les rapports soulignent que les bénéfices du trafic de drogue, en particulier les pilules hallucinogènes, sont parmi les ressources les plus importantes des poches des généraux algériens, car ce commerce leur réalise des bénéfices de 10 milliards de dollars.
